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C'est au coeur de Big Apple qu'aura germé et grandi The Big Machine, impressionnant troisième album d'une jeune française désormais libre de ses mouvements, qui chante ici presque exclusivement en anglais et poursuit en version extra large un songe musical entamé en 2003.

Depuis la sortie de leur premier album, à l'époque premier disque le plus vendu de l'histoire la semaine de sa sortie en 2006 au Royaume-Uni, Arctic Monkeys est devenu l'un des groupes britanniques les plus influents dont le succès ne cesse de s'accroître, avec désormais plus de 25 millions d'albums vendus dans le monde et plus de 30 N?1. Septième album studio du groupe, The Car se compose de 10 nouvelles chansons écrites par Alex Turner, produites par James Ford et enregistrées au Butley Priory (Suffolk), aux RAK Studios (Londres) et à La Frette (près de Paris). Successeur de Tranquility Base Hotel + Casino sorti en 2018, The Car saisi Arctic Monkeys en liberté dans un nouveau paysage musical somptueusement orchestré qui compte certaines des performances vocales les plus majestueuses et renversantes de la carrière d'Alex Turner.

Le compositeur australien basé à Reykjavik présente son cinquième album en collaboration avec Steve Albini (Shellac). La rencontre à Chicago durant l'été 2016 entre les deux a vu naître un travail effréné entre deux artistes, repoussant les frontières de la musique expérimentale minimaliste et la noise. Pas moins de 2 heures de musique ont été enregistrée dans un studio obscur de la ville américaine, et cet album en est la retranscription. On y découvre une musique instable, anxieuse, se révoltant en permanence contre son créateur.

Premier album studio, depuis la parution de Reality en 2003. Eenregistré dans le plus grand secret, Sa sortie est annoncé le 8 janvier 2013, jour anniversaire du chanteur, le même jour le clip du premier single de l'album, Where are we now ? est publié sur le site de Bowie. Le 28 février 2013 l'album est déposé à l'écoute dans son intégralité sur iTunes. Proche de Heathen ou Reality, il symbolise l'oubli et renvoi au passé

Onze nouvelles chansons du plus grand groupe virtuel au monde, produit par Gorillaz, avec James Ford et Remi Kabaka, et entièrement enregistré au Studio 13 à Londres en février 2018. Un an à peine après "Humanz" encensé par la critique, le quatuor créé par Damon Albarn et Jamie Hewlett livre cet opus davantage pop et electro, tour à tour dansant et planant. Ecartant largement les guests, l'album s'en remet à l'équipe créative de base : le doux rêveur aux cheveux bleus 2D au chant, l'ingénieuse et badass japonaise Noodle à la guitare, sans oublier le philosophe et batteur de Brooklyn Russel Hobbs. Et Murdoc Niccals étant temporairement indisponible, la basse est assurée par Ace, ancienne membre de Gangreen Gang.

Cette jeune californienne de 23 ans, issue de la scène new-folk, nous dévoile un univers d'une richesse et d'une singularité rares. La protégée de Devendra Banhart et Joanna Newson, est l'héritière de toute une lignée de chanteuses qui, à l'instar d'une Karen Dalton, possède la grâce naturelle et le rayonnement étrange de ceux qu'on appelle les vieilles âmes.

Une sombre élégance sous-jacente à la Arcade Fire. Des ricochets pop imparables, mêlés d'une sorte de rock rural original et pittoresque, mais aussi un bouleversant titre post-rock ou encore des orchestrations grandioses à la Sigur Ros.

Sans conteste le meilleur hommage à cette légende du métal : un puissant double-album qui retrace les meilleurs moments de la discographie avec des nouvelles versions saisissantes !